7 Février 2018
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Jean Antoine Théodore Gudin (1802-1880), Scène de pêche
Les enfants ont grandi, ils se sont envolésLa maison fait silence en nos cœurs enjôlés,Et nous nous regardons ainsi, comme jadis,Quand l’âge vient peser sur nos cœurs attiédis. C’est donc si peu de vivre et le temps n’est qu’un leurre !Las, nous avions vingt ans, c’était il y-a une heure,À peine plus, ma mie, l’horloge
http://www.lesvieilleslettres.com/2018/02/l-horloge-du-coeur.html